Février 1945. Autour de Sigmaringen, les collabos réfugiés en Allemagne déchantent. La situation militaire ne leur laisse plus guère d’espoir et l’on apprend la mort de Jacques Doriot, le chef de file des ultimes partisans français du régime nazi, tué lors du mitraillage de sa voiture par un avion non identifié.
La présence sur les lieux du drame d’un homme des services secrets nazis sème le doute sur cette disparition. Et si le « Grand Jacques » avait été victime d’un complot, liquidé par ses « amis » ?
Un jeune lieutenant, ancien du front de l’Est, mène l’enquête. Alors que les troupes alliées ont passé le Rhin, qu’approche l’heure de solder les comptes et que beaucoup à présent jouent double voire triple jeu, à qui peut-il encore se fier ?
L'ouvrage, co-édité avec La Manufacture de livres, a obtenu le premier Prix du roman d'espionnage - Amicale des Anciens des Services Spéciaux de la Défense Nationale.
« Tout est rendu avec talent par le truchement d'un style net et percutant. Pas un temps mort. Pas le moindre cliché. »
Christopher Gérard, Service littéraire
« Pierre Olivier entre avec ce premier roman dans la cour des grands. »
Jean-François Micard, k-libre.fr
« Une intrigue forte dans ce petit milieu des collaborationnistes, décrit avec finesse et maîtrise. »
Sylvain Boulouque, Le Monde libertaire
« De l'espionnage vintage, riche en schnaps et en engelures ! »
Christophe Laurent, Corse Matin
« Excellent premier roman »
Pascal Louvrier, Causeur
« La trame et le cadre originaux de ce polar lui ont valu le Prix du roman d'espionnage. »
François Montpezat, L'Alsace/DNA